HERENCIA – HÉRITAGE

Vidéo-projection architecturale sonorisée et création lumière – 9 minutes

Réalisation image

Laurent Langlois / ARTSLIDE

Graphisme et animation

Jean-Sébastien Martin, Eric Ourth, Sarah Giraud, Romain Giraud, Leslie Epstein

Réalisation bande son

Rémy Laurençon

Lumière

Daniel Knipper

L’idée principale de la lumière est d’ouvrir l’image vers le bas de l’église et sur les côtés, ainsi que de traiter la partie du milieu, beaucoup plus sombre que les côtés.

Avec la participation de

Jorge Anhalzer pour son travail photographique sur les paysages équatoriens et pour ses portraits de quiténiens.

Argument

Un magma volcanique tombe du clocher, s’étend sur l’ensemble de la façade accompagné de faisceaux lumineux.

Les paysages de la région de Quito défilent entre les nuages, survolés par des condors.

Les signes des premières civilisation précolombiennes et Inca rayonnent et habillent l’architecture sous un regard solaire et lunaire.

Une multitude de masques et visages du patrimoine précolombien, inca et hispanique surgit de la façade.

Ils semblent nous regarder, peut-être même nous parler.

L’empereur inca Atahualpa, Le général Rumiñahui, Sebastián de Belalcázar… les personnages fondateurs de Quito s’invitent .

Un échafaudage en bois prend forme sur la façade et une nuée de diablotins s’activent à construire l’édifice. Pierres par pierres l’architecture se révèle, du sol jusqu’au clocher, une évocation de la légende de l’indien Cantuña et de son pacte avec le diable pour achever la construction de l’édifice des Frères Franciscains.

L’envol d’une nuée de silhouettes de pigeons traverse la façade et nous transporte dans un autre univers.

L’architecture de l’église San Francisco est sublimée et métamorphosée par les plus beaux éléments architecturaux de l’église elle même et du centre historique.

La grande façade devient actrice et support d’un voyage graphique et lumineux dans le patrimoine historique et culturel de la ville de Quito.

Une mosaïque de visages de Quitenios sur les murs blancs remplace la statuaire du patrimoine et par un morphing graphiques une foule en déplacement colonise le bâtiment.

L’ensemble des traits de l’architecture vibre de lueurs et de scintillements.

Lumière et vidéo se marient une dernière fois pour révéler la beauté de San Francisco.

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